Tout d'abord, merci beaucoup à la trentaine de personnes qui ont eu la gentillesse de répondre à ce questionnaire. Cet échantillon n'est donc absolument pas représentatif, néanmoins, l'analyse de ces résultats constitue un bon exercice.
Ici le questionnaire ne s'adressait qu'à des étudiants, nous remarquons que l'âge des interviewés oscille entre 18 ans et 28 ans, l'âge moyen étant d'environ 22ans.
Sur cette trentaine de personnes, 87% sont étudiants à l'université, 3,5% sont en IUT et 9,5% sont en BTS. Nous pouvons déplorer l'absence de d'étudiants en classe préparatoire et de Hautes Ecoles. 83,3% des universitaires sont des étudiants en licence, le reste étant en Master. Là aussi il est regrettable de ne pas avoir de doctorants, en effet d'après de nombreuses études, les doctorants sont fortement touchés par la précarité.
Dans notre échantillon, 41,6% des universitaires sont boursiers et 35,7% des étudiants ayant répondu à ce questionnaire le sont aussi. Nous pouvons noter que le pourcentage de boursiers à l'université est plus élevé que la moyenne générale.
La population de cette enquête réunit 42,3% de travaillleurs. Ces derniers travaillant surtout lors d'emplois occasionnels ou à temps partiels (42% des travailleurs pour chacune de ces catégories) les autres travaillant à temps plein.
100% des personnes ayant répondu à ce questionnaire sont de nationalités française. Celà aussi est dommage, en sachant que d'après des études nationales, les étudiants étrangers, spécialement les non-européens souffrent fortement de la précarité.
7% des sondés ont au moins un parent au chômage. 50% des parents des étudiants ayant répondu à ce questionnaire sont mariés, vivant encore ensemble. 30% des étudiants sont issus de parents actuellement divorcés, le reste étant soit divorcés et remariés, soit issus de famille monoparentale.
Il est intéressant de noter que 21.4% des sondés vivent en couple, mais qu'aucun n'a d'enfant.
Tout d'abord nous notons que 68% des étudiants répondant à cette étude ne vivent pas chez leurs parents. Un quart de notre échantillon vit dans une résidence universitaire, 28,5% vivent soit en collocation soit en couple : ce qui nous montre que seule une minorité (14%) d'étudiants vit seul.
Nous remarquons que le sentiment des étudiants interviewés par rapport à leur logement est plutôt positif, néanmoins, "vivable" est un terme qui même s'il ne décrit pas un mal-être permanent montre que le logement est loin d'être confortable pour 52,2% des sondés. Enfin, nous remarquons que la tranche de loyer moyen est de 350€
Le but principal de cette partie est de déterminer si oui ou non les étudiants de l'enquête sont dans une précarité financière. Nous voyons grâce à ce graphique que 85.7% des sondés arrivent à réaliser des économies à la fin du mois, ce qui est optimiste quant à la situation financière de nos étudiants interrogés.
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