Nous vous remercions pour le temps que vous avez accrodé à notre questionnaire. Vos réponses nous ont permis d'enrichir notre enquête, vous allez donc pouvoir découvrir les résultats qui en découlent!
Vous avez été 66,9% de femmes à nous répondre, pour 33.1% d'hommes. La tranche d'âge la plus concernée par l'enquête est celle des 19-21 ans. 55,8% d'entre vous sont en couple, et 44.2% sont célibataires.
Hypothèse 1
L'une de nos hypothèses concernait le fait que les femmes seraient plus susceptibles de se fier à l'avis de leurs proches -notamment celui de leurs parents- sur leurs relations. Bien que les modalités de réponses soient nuancées, les réponses obtenues ont confirmé nos dires: une majorité d'hommes a répondu que l'avis des parents ne comptait pas du tout, et 60 femmes ont répondu qu'il comptait beaucoup, pour seulement 16 hommes. En ce qui concerne les réponses nuancées, les femmes sont encore une fois sur-représentées, avec 48 réponses pour "ça dépend" et 52 réponses pour "un peu", là où les hommes sont respectivement 16 et 33 à avoir répondu.
Hypothèse 2
Notre seconde hypothèse était la suivante: les personnes inscrites sur des applications de rencontre accordaient une place plus importante au sexe dans leurs relations affectives que celles qui n'y sont pas inscrites. Parmi les 149 personnes ayant répondu s'être déjà inscrits sur des applications de rencontre, 90 ont admis ne pas concevoir d'être en couple sans avoir de relations sexuelles. En revanche, parmi les 122 personnes ne s'étant jamais inscrits sur des applications de rencontre, 66 ont répondu qu'il leur était possible d'envisager un couple sans avoir de relations sexuelles avec leur partenaire.
Hypothèse 3
Nous avons également émis l'hypothèse que les hommes auraient vécu des relations moins sérieuses que les femmes au lycée. Cependant, les réponses obtenues vont à l'encontre de ce que nous pensions. En effet, le tableau ci-joint démontre que les hommes sont moins nombreux que les femmes à définir leurs relations amoureuses du lycée comme "vagabondes". Il faut néanmoins rappeler que ce questionnaire a été rempli par une majorité de femmes, et qu'une différence de 4 réponses reste faible.
Hypothèse 4
Nous nous sommes interrogés sur l'impact du lieu de résidence sur le caractère sérieux ou non des relations. Nous nous sommes dit que le fait de vivre hors du cadre parental incitait davantage les étudiants à avoir plus des relations moins sérieuses. Ce tableau confirme notre hypothèse, puisqu'il montre que parmi les 74 personnes ayant déclaré vivre dans leur propre appartement, 46 déclarent avoir déjà eu des relations sexuelles sans avoir été en couple avec le partenaire, pour seulement 28 personnes prétendant ne jamais l'avoir fait.