Rapport final sur la communication familiale chez les étudiants

Remerciements

Nous tenons à tous vous remercier pour le temps que vous nous avez accordés. Vous avez été 55 à répondre à notre questionnaire et chacune de vos réponses nous est précieuses. Nous allons vous présenter les résultats et notre analyse finale.

Population

Vous avez été 75,47% de femmes à répondre contre seulement 24,53% d'homme, il y a donc gros un déséquilibre dans la parité homme femme.

En ce qui concerne l'âge et la filière, la grande majorité se situe entre 19 et 23 ans et étudie dans les sections artistiques ( au sens large ) ou sociologique comme le montre les graphiques suivants :

Quelques éléments de réponses :

Hypothèse 1 : Les étudiants résidant loin du domicile familiale rentrent très peu...

L'hypothèse des étudiants rentrant peu dû à l'éloignement du domicile familiale est ici confirmé. Ils sont 45% à ne rentrer que pendant les vacances. Il nous manque des données pour en définir la causalité exacte (problème financier, de locomotion, manque de temps).

Mais cela n'affecte pas la communication à distance :

Hypothèse 2 : Les étudiants les mieux intégrés au sein de leur établissement contactent moins souvent leur famille :

Nous avions soumis l'hypothèse que les étudiants les mieux intégrés à leurs établissements avaient le moins de contact avec leurs parents. Il s'avére que cette hypothèse est à réfuter. Effectivement, quelque soit le sentiment d'intégration, le contact perdure avec des contacts de une ou plusiseurs fois par semaine.

Hypothèse 3 : La socialisation sur le nouveau lieu d'études éloigne les étudiants de leurs anciens amis

Nous pensions que l'éloignement géographique pour le nouveau lieu d'études entrainait parallélement une baisse de fréquence dans les contacts avec les anciens amis au profit de nouvelles connaissances faîtes sur le nouveau lieu de résidence. Hors, les anciennes amitiés semblent préservées, les étudiants sont 27% à contacter leurs anciens d'amis 1 fois par semaine ou plus et 30% à être présents quand leurs anciens amis en ressentent le besoin

Conclusion

Malgrè un échantillon restreint, nous pouvons avancer que les étudiants vivants en autonomie gardent des liens proches avec leurs familles ou anciens amis. Nous aurions aimé pouvoir croiser des résultats sur le mode de communication avec la famille (Skype, sms, messenger, etc...), malheureusement les personnes ayant répondu à ce questionnaire, on omis de répondre à ces questions.