Les relations intergénérationnelles

Introduction

Rappel et choix du sujet

Les relations intergénérationnelles sont dignes d'intérêt pour la sociologie. Elles ont en effet été traitées par plusieurs grands sociologues comme Vincent Caradec (sociologue français spécialiste des questions de vieillissement), Gérard Mermet (sociologue française spécialiste du changement social) ou Louis Chauvel (sociologue français spécialiste de l'analyse des structures sociales et du changement par génération). La sociologie étant une discipline qui s’intéresse à la compréhension des sociétés et aux comportements des individus qui les composent, étudier les relations intergénérationnelles est pertinent. En effet, réfléchir sur ces relations permet d’appréhender les comportements des individus les uns par rapport aux autres lorsqu’ils appartiennent à des générations différentes. De plus, la sociologie du vieillissement est une branche très active de la sociologie et, depuis quelques années, la question des liens intergénérationnels y est particulièrement soulevée notamment après les difficultés liées au COVID-19.

Les relations intergénérationnelles sont des relations qui prennent place entre des individus appartenant à des générations différentes. Nous avons choisi de nous intéresser à ces relations puisque nous nous demandions comment celles-ci sont impactés par les conditions actuelles (l’après pandémie, l'avènement des nouvelles technologies, etc.).

La sociologie définit une génération comme “une cohorte dont les membres partagent une même expérience, une même histoire forte”. Pour cette enquête, nous avons décidé de définir une génération comme une période de 20 ans. Ce choix fait suite à notre réflexion sur les relations que nous souhaitions cibler. En effet, les relations parents-enfants ne sont pas celles que nous aspirions à traiter en priorité, faire des générations de 20 ans nous permettait donc de limiter les réponses sur ce type de relations.

Pour décrire notre objet d’étude (les relations intergénérationnelles), nous avons identifié trois grandes dimensions: le type de relation, la fréquence de relation et les circonstances de relation. En effet, pour décrire les relations intergénérationnelles, il faudrait selon nous nous intéresser aux types de relations intergénérationnelles, sont-elles physiques (en passant par des activités communes ou des services par exemple) et/ou se réalisent-elles à distance (avec des appels téléphoniques ou des mails par exemple). Il faudrait aussi, selon nous s’intéresser à la fréquence de ces relations, sont-elles occasionnelles (une ou plusieurs fois par mois) ou plus récurrentes (une ou plusieurs fois par semaine). Enfin, il faut s’intéresser aux circonstances des relations intergénérationnelles. Prennent-elles place au travail, lors d’une activité de culture (visites de lieux de culture, clubs ou associations de culture, etc.) ou au sein de la famille par exemple. Après cela, nous avons identifié 4 sous dimensions que sont: les relations dans l’enfance, la distance dans les relations, la constitution du ménage et le genre.

Problématique et hypothèses

Nous avons formulé plusieurs hypothèses qui pourraient répondre à notre problématique : Comment les relations intergénérationnelles se créent de nos jours ?

Hypothèse 1:

Énoncé: Le maintien des relations intergénérationnelles se fait différemment depuis la pandémie de COVID-19.

Justification théorique: En effet, depuis la pandémie de COVID-19 et le confinement, les relations ont changées, « on s’embrasse moins, où l’on hésite encore à se serrer la main, où nous avons pris nos distances les uns par rapport aux autres »1. Nathalie Sarthou-Lajus développe alors l’idée selon laquelle la crise du COVID-19 a renforcé les liens intergénérationnels, notamment les liens familiaux. On peut donc penser que le maintien de ces relations a plus d’importance et se réalise sans doute autrement que précédemment.

Hypothèse 2:

Énoncé: Le maintien des relations intergénérationnelles est facilité par l’émergence de nouveaux moyens de communication.

Justification théorique: Les modes de communications évoluent beaucoup depuis le milieu du 20e siècle. Amandine Brugière explique que ces nouveaux modes de communication, qui se développent et se sont développés ces dernières années, permette de « (re)lier » les personnes âgées au reste de la société. En effet, malgré une compréhension plus difficile des nouvelles technologies, les personnes âgées finissent par s’en servir tout autant que le reste de la population. Ainsi, comme beaucoup d’études le montrent, « plus on a d'interactions avec d'autres personnes en face à face, plus on a d'interactions virtuelles, et réciproquement ». On peut donc aisément considérer que maintenir et créer du lien est facilité par les nouveaux moyens de communications.

Hypothèse 3 :

Énoncé : L’entretien des relations intergénérationnelles se fait différemment selon les individus impliqués dans ces relations.

Justification théorique : Les générations se modifient avec le temps et les sociétés évoluent et sont alimentées différemment, de ce fait les mentalités changent. Thierry Blöss, rapporte alors les propos de Talcott Parsons (sociologue américain) pour qui les relations familiales (quelques qu’elles soient) seraient doublement affectées par le développement des sociétés occidentales. L’école concurrencerait les fonctions socialisatrices de la famille et l’urbanisation contribuerait à la dissolution des liens familiaux entre générations.

Plan

Pour répondre à cette problématique et tenter de vérifier ces hypothèses, nous commencerons par faire une description générale du questionnaire et des répondants, pour ensuite faire une première description statistique et finir par croiser les résulats obtenus avec les variables socio-démographiques lourdes. Nous conluerons ensuite en reprenant les éléments, répondant à la problématique et en ennoncant les biais et ouvertures possibles pour cette enquête.

I- Descritpion

A- Diffusion du questionnaire

Nous avons commencé par partager notre questionnaire à nos proches (amis, familles, travail, etc.), puis nous leur avons demandé de le partagé à leur tour. Ensuite, nous avons décider de le partager sur les réseaux sociaux.

Cela nous a permis d’obtenir 102 réponses (une fois les réponses en doubles ou incomplètes désactivées) correspondant donc à la fois à des connaissances et à des inconnus.

Nous nous attendions et voulions avoir plus de réponses pour pouvoir le plus possible se rapprocher d’une représentativité relative. Nous n’avons cependant pas pu rassemblé autant de réponses que souhaité ce qui limite donc la légitimité des résultats qui suivent.

B- Description de la population

Passons maintenant à la description de notre échantillon. Pour cela, voici une sélection de données et de graphiques pertinents pour se représenter la population qui constitue notre échantillon.

Tout d’abord, sur les 102 répondants, 68 % sont de femmes, 30 % sont des hommes. Notre échantillon n’est donc pas équilibré du point de vue du genre. Nous chercherons par la suite à savoir si la différence de genre a un impacte sur les relations intergénérationnelles.


Près de 40 % des répondants ont 50 ans ou plus cependant les âges varient entre 18 et 75 ans. Cela nous a relativement surpris, en effet, ce questionnaire ayant été partagé en ligne, nous en pensions pas qu’il toucherait plus les personnes âgées et les plus jeunes.

70 % des répondants appartiennent à la catégorie des cadres et professions intellectuelles supérieures (35%) ou des employés et ouvriers (38%). La catégorie la moins représentée dans notre échantillon est celle des agriculteurs et artisans (seulement 9%).


Alors que 53 % de notre échantillon vit en couple, 20 % vivent seuls. On remarque aussi que les personnes vivant en colocation ou avec leur « famille générale » (grands-parents, oncles, tantes, etc.) sont les moins présents dans les répondants de notre questionnaire. Par ailleurs, 38 % des répondants vivent dans un village contre 13 % dans une métropole. Cela peut notamment s’expliquer par le fait que nos entourages (à qui nous avons envoyé le questionnaire en premier et qui l’ont ensuite partagé à leur tour) vivent majoritairement dans nos villages d’enfance.

C- Limites

Notre échantillon n’est pas « équilibré » quant au genre, à l’âge, à la CSP ou encore au type de ménage et au contexte géographique. Cela peut constituer une limite dans l’analyse des données, surtout sur un si petit nombre de réponse. L'échantillon n'étant pas représentatif de la population, les résultats obtenus peuvent ne pas être généralisés à l'ensemble de la population.

II- Description statistique

A- Enfance

Pour commencer, nous souhaitions nous pencher sur les relations intergénérationnelles lors de l’enfance des répondants.

On voit alors que la forme de ces relations, lorsqu’elles ont lieux dans la famille, elle est différentes de lorsqu’elles ont lieux en dehors de l’institution familiale. En effet, alors qu’au sein de la famille 39 % des relations se maintenaient grâce aux conversations téléphoniques, c’était le cas de seulement 13 % des relations hors familiales. Il y a cependant des ressemblances, 80 % des relations (au sein de la famille et en dehors) se maintenaient par le biais de conversations physiques. On voit qu’en moyenne, les lettres et les services sont les moyens les moins souvent utilisés pour maintenir une relation intergénérationnelles alors que les conversations physiques et les activités communes sont les plus utilisées.

Pour ce qui est de la fréquence du lien durant l’enfance, des différentes sont également remarquables entre celles qui prennent place dans la famille et celles qui se trouvent en dehors. Alors que 63 % des relations avec d’autres personnes étaient maintenues moins d’une fois par semaines, 13 % l’étaient tout les jours. Au sein de la famille, les proportions sont plus égalitaires bien que les relations étaient majoritairement maintenues moins d’une fois par semaines (comme en dehors de la famille).

B- De nos jours

Nous voulions ensuite nous intéresser aux relations intergénérationnelles actives aujourd’hui dans la vie de nos répondants.

On voit que par rapport à l’enfance, la fréquence du lien aujourd’hui est plus différente en fonction de l’âge des individus (plus jeunes ou plus âgées). En effet, alors que 29 % des personnes entretenant une relations intergénérationnelle avec une personne plus jeune le font moins d’une fois par semaines, c’est 38 % des personnes qui entretiennent une relation intergénérationnelle avec une personne plus âgée. On remarque aussi que les écarts sont plus variables au sein d’une même catégorie. Alors que 32 % des personnes qui entretiennent une relation intergénérationnelle avec une personne plus âgée le font tous les jours, 3 % le font une fois par semaines. Pour les individus qui entretiennent une relation intergénérationnelle avec une personne plus jeune, 37 % le font tous les jours contre 11 % qui le font une fois par semaines.

Pour ce qui est des activités faites lors des rendez-vous de ces relations intergénérationnelles aujourd’hui, elles ne diffèrent que peu selon l’âge des individus. En effet, 60 % des personnes qui entretiennent une relation intergénérationnelle avec une personne plus jeune discutent lors des rendez-vous, c’est 55 % pour les personnes qui entretiennent une relation intergénérationnelle avec une personne plus âgée. De même pour les activités professionnelles, c’est 36 % pour les personnes qui entretiennent une relation intergénérationnelle avec une personne plus jeune et 35 % pour les personnes qui entretiennent une relation intergénérationnelle avec une personne plus âgée.

C- Confinement

Ensuite, nous nous intéressions à l’impact du confinement (induit par la COVID-19) sur les relations intergénérationnelles.

On remarque alors que le confinement n’a, pour nos participants, pas impacté leur manière de maintenir et de créer des liens.

Pour ce qui est de la création des liens intergénérationnels, 24 % disent que le confinement l’a impactée contre 76 % pour qui ça n’a pas changé les choses.


Par ailleurs, seul 31 % des répondants disent que le confinement a impacté leur façon de maintenir les relations intergénérationnelles dans lesquelles ils sont impliqués contre 69 % qui disent que cela ne les a pas impacté.


Reprise des éléments

En somme, dans notre échantillon, la forme et la fréquence des relations intergénérationnelles dans l'enfance sont différentes selon la place de ses relations (au sein de la famille ou non). Aujourd'hui, la fréquence des relations intergénérationnelles dépend grandement de l'âge des individus impliqués dans ces relations (plus jeunes ou plus âgées) mais les activités faites lors des rendez-vous, quant à elles ne diffèrent que peu vis à vis de l'âge des individus. Par ailleurs, ici, le confinement n'a pas d'impact sur la façon dont nos participants créent et maintiennent les relations intergénérationnelles dans lesquelles ils sont impliqués.

III- Croisement des données avec

A- Le genre

En analysant les résultats de notre questionnaire nous voulions tout d’abord croiser les données avec le genre des individus. En effet, le genre constitue une des variables lourdes dans la sociologie, il semblait donc intéressant de se pencher sur les possibles différenciations selon le genre.

Cependant, lorsqu’on étudie la fréquence du lien durant l’enfance en fonction du genre, on voit que la relation n’est pas significative (selon le test du Khi2). Pour donner quelques chiffres, 41 % des femmes entretenaient des relations moins d’une fois par semaines avec des personnes d’une autre génération durant leur enfance contre 19 % des hommes. En moyenne, les femmes entretenaient des relations moins d’une fois par semaines avec des personnes d’une autre génération durant leur enfance alors que les hommes les entretenaient en moyenne tous les jours à plusieurs fois par semaine. Par ailleurs, on voit que la différence entre la fréquence du lien avec des membres de la familles durant l’enfance selon le genre et la fréquence du lien avec d’autres personnes durant l’enfance selon le genre est presque inexistante.

Ensuite, pour la relation entre le fait d’être plus à l’aise avec une personne d’une certaine génération et le genre, elle n’est pas non plus significative (selon le test du Khi2 de nouveau). En effet, 53 % des femmes comme 53% des hommes ne ressentent pas de différence selon l'âge de la personnse dans leur ressenti. On voit cependant que les hommes sont en moyennes plus à l’aise avec des personnes du même âge qu’eux alors que les femmes le sont plus avec des personnes plus âgées.


B- L'âge

Nous voulions ensuite nous pencher sur l’impact de l’âge sur les relations intergénérationnelles.

Contrairement au genre, l’âge est ici une variable impactante sur les relations intergénérationnelles. En effet, on voit qu’en fonction de l’âge, le fait d’être plus ou moins à l’aise avec des personnes d’une certaine génération est très variable. Alors que plus de 65 % des 25-44 ans et des 45 ans et plus ne ressentent pas de différence, les moins de 25 ans se sentent plus à l’aise avec des personnes plus âgées. En moyenne, les individus (peu importe l’âge) ne se sentent que rarement les plus à l’aise avec des gens du même âge.

En somme, le fait d’être plus à l’aise avec une personne d’une certaine génération est significativement (selon le test du Khi2) impacté par l’âge des individus impliqués dans cette relation.

En revanche, l’impact de l’âge sur la fréquence du lien durant l’enfance n’est pas significatif (selon le test du Khi2), que ça soit au sein du cercle familial ou à l’extérieur de celui-ci. En effet, en moyenne, 40 % des répondants voient entretiennes une relation intergénérationnelle tous les jours, plusieurs fois par semaines, une fois par semaines ou moins d’une fois par semaines.

C- La CSP

Nous voulions ensuite nous intéresser à l’influence de la CSP sur les relations intergénérationnelles. En effet, la CSP est l’une des variables les plus souvent explicatives des phénomènes sociologiques. Ici, comme pour l’âge, on remarque que sont impact est relatif.

Pour ce qui est de la fréquence du lien durant l’enfance, la relation avec la CSP n’est pas significative (selon le test du Khi2). Une proportion égale d’agriculteurs et artisans entretiennent ce lien tous les jours, plusieurs fois par semaines et moins d’une fois par semaines (33% à chaques fois) alors que pour les autres CSP, la répartition est bien plus variable. Par exemple, 44 % des personnes appartenant à la catégorie des professions intermédiaires entretiennent ce lien moins d’une fois par semaines contre 11 % qui l’entretiennent tous les jours. Par ailleurs, on peut voir que la répartition selon la CSP est relativement similaire au sein de la famille qu’à l’extérieure de celle-ci.

Pour le fait d’être plus à l’aise avec une personne d’une certaine génération, on voit que la CSP a un impact significatif (selon le test du Khi2). Alors que plus de 50 % des professions intermédiaires et employés et ouvriers ne ressentent pas de différence, 67 % des agriculteurs se sentent plus à l’aise avec des personnes plus âgées. Ici, la proportion des individus, quelque soit leur CSP, qui se sentent plus à l’aise avec des individus plus jeunes et très faible.


Conclusion

Reprise des éléments

En conclusion, malgré les biais (énoncés plus tard) de notre enquête, celle-ci nous a permis de savoir plusieurs choses. Parmi elles, on sait maintenant que, pour nos répondants, le fait d’être à l’aise avec une personne d’une certaine génération dépend significativement (test du khi2) de la CSP et de l’âge mais non du genre.

Pour reprendre nos hypothèses de départ, elles comportent des biais énoncés plus tard, elles ne sont donc majoritairement pas vérifiables. En effet, l’hypothèse 1 visait à penser que le maintien des relations intergénérationnelles se fait différemment depuis la pandémie de COVID-19 or, comme montré dans l’analyse, nos participants ne remarquent pas de changements induits par le confinement et la COVID-19. Cependant, l’hypothèse 2 souhaitait montrer que le maintien des relations intergénérationnelles est facilité par l’émergence de nouveaux moyens de communication, ici, cela est vérifié. En effet, 60 % de nos répondants jugent que les nouveaux moyens de communications favorisent le maintien des relations intergénérationnelles qu’ils entretiennent. Enfin, l’hypothèse 3 visait à penser que l’entretien des relations intergénérationnelles se faisait différemment selon les individus impliqués dans ces relations. Ici, cela est vérifiable de nouveau, en effet, comme montré précédemment, l’âge et la CSP impact les relations intergénérationnelles tout comme la positions de celles-ci (au sein de la famille ou en dehors).

Réponse à la problématique

Après analyse des réponses obtenues à notre questionnaire, il est difficile de répondre à la question de départ : Comment les relations intergénérationnelles se créent de nos jours ? En effet, nous nous sommes rendue compte que répondre à cette problématique sans avoir assez de recule et de données était difficile, même impossible et incorrecte. En somme, nous ne pouvons pas répondre à la question que nous nous posions au début de la création de l’enquête. Pourtant, nous pouvons avancer certains fait. Par exemple, la création des liens intergénérationnels est différentes selon le genre des individus qui y sont impliqués. De même, la fréquence et la force de ces relations sont aussi différentes selon le genre ou encore l’âge et l’origine sociale des individus.

En conclusion, nous ne savons pas comment les relations intergénérationnelles se créent de nos jours mais nous savons que la créations, le maintiens, la fréquence et la forme de celles-ci sont différents en fonctions de différents critères sociaux forts comme l’âge, le genre et la classe sociale.

Biais et Ouverture

Suite à l’analyse des réponses obtenues à notre questionnaire, nous nous sommes rendu compte de certaines erreurs dans la réalisation de celui-ci. En effet, tout d’abord les hypothèses 1 et 2 ne sont pas vérifiables à la suite d’une seule enquête par questionnaire (qui plus est avec un nombre de réponse peu représentatif). De plus, certaines de nos questions étaient mal formulées et les réponses proposées n’étaient parfois pas les bonnes, les plus justes et pertinentes. Par ailleurs, nous nous sommes rendues compte que pour certaines questions, les réponses proposées n’étaient pas exhaustives et mutuellement exclusives.

En somme, un certains nombre de biais et de limites sont présent dans cette enquête, la plus grande étant l’impossible représentativité des réponses dû à un nombre de réponse trop faible.

Bibliographie

Dollo, C., Alpe, Y., Lambert, J. R., & Parayre, S. (2017). Lexique de sociologie. Dalloz.

Blöss, T. (1997). Les liens de famille: sociologie des rapports entre générations.

Brugière, A. (2011). Des technologies qui infantilisent et isolent ou des technologies créatrices de lien ?. Gérontologie et société, 34(138), 181-193.

Sarthou-Lajus, N. (2021). Le sel des débats intergénérationnels. Études, , 5-6.

Annexe

Le test du Khi2 est une méthode statistique qui permet de tester si deux variables sont indépendantes ou non. Pour cela, on compare les fréquences observées des deux variables avec les fréquences attendues si elles étaient indépendantes.